Au programme
À commencer par le sublime Cygne du Carnaval des animaux, Camille Saint-Saëns a laissé au violoncelle quelques pages d’une profondeur poignante comme le Premier concerto, partition brève mais dense où le soliste prend la parole dès le début pour ne plus la perdre. Il faudra toute la flamme du violoncelliste Aurélien Pascal,
Révélation Soliste Instrumentale aux Victoires de la Musique Classique en 2023, pour défendre l’autorité d’une telle œuvre, notamment dans le superbe Allegretto central. Surnommée « La petite » comparée à la Symphonie n°40 que l’on appelle « La grande », la Symphonie n°25 de Mozart frappe pourtant très fort dès les premières notes. Comme un véritable coup de pied dans la porte, son ton fiévreux installe une tension qui ne se relâche jamais. Dirigée par le chef Gábor Takács-Nagy, cette œuvre tragique et révoltée sonne comme un éclat de génie dans le répertoire de la musique classique !
Tragique et rageuse, la Symphonie n°25 de Mozart est un véritable choc, un coup d’éclat incomparable !
Déroulé de l'événement
Béla Bartók | Impressions de Hongrie – 11’Camille Saint-Saëns | Concerto pour violoncelle n°1 – 17’
Aurélien Pascal, violoncelle
- entracte -
Wolfgang Amadeus Mozart | 1756 -1791
Symphonie n°25 – 24’
Les dates
Les artistes

Aurélien Pascal
violoncelle

Gábor Takács-Nagy
chef d'orchestre